C'est vrai, mais ne vous inquiétez pas, ce n'est pas la fin du monde. Il y a plein d'autres moyens de communiquer !
Le réseaux 2G ?
Cependant, le réseau 2G est aussi confronté à plusieurs défis. Il est moins performant que les réseaux plus récents, comme la 3G, la 4G ou la 5G, qui offrent des débits plus élevés et une meilleure qualité de service. Il est aussi moins sécurisé, car il ne chiffre pas les données qu'il transporte. Il est enfin menacé par l'obsolescence, car les opérateurs veulent libérer les fréquences qu'il occupe pour les attribuer aux réseaux plus modernes.
Pourquoi ce réseau va-t-il disparaître ?
La fin du réseau 2G posera donc, à terme, un problème pour les utilisateurs et les applications qui utilisent la géolocalisation. Ils doivent trouver des solutions alternatives pour continuer à bénéficier de ce service. Plusieurs options sont possibles :
- Passer à un autre type de réseau, comme la 4G, cela implique de changer d'appareil.
- Utiliser un autre protocole de communication, comme le réseau Sigfox par exemple. Réseau est spécialement conçus pour les objets connectés et offrent une faible consommation d'énergie et une longue portée. Ils nécessitent toutefois l'installation d'antennes spécifiques et ne sont pas disponibles partout.
La fin du réseau 2G est donc un enjeu majeur pour la géolocalisation. Elle obligera :
-les fournisseurs et les applications à s'adapter à cette évolution technologique,
- les utilisateurs à choisir la solution la plus adaptée à leurs besoins et à leur budget.
Quelles conséquences pour la géolocalisation ?
Nomattitude propose déjà pour tous ses nouveaux boîtiers de géolocalisation, ainsi que pour les renouvellements des boîtiers, une technologie 4G qui n’utilise pas le réseau 2G et qui fonctionnera après la disparition du réseau 2G.
Nomattitude propose également des balises Sigfox qui utilisent un autre réseau de communication. Cette offre de géolocalisation peut être utilisée pour les remorques, les bennes, les engins, des tourets de câbles etc. Il s’agit ainsi de s’ouvrir à de nouveaux marchés en développement, avec des objets à forte valeur ajoutée, mais qui n’ont pas d’alimentation stable.